- EAN13
- 9782708244580
- Éditeur
- Éditions de l'Atelier
- Date de publication
- 13/03/2015
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - L'Atelier 18,00
Ce livre fait entendre des voix rarement écoutées. Dix ouvrières et ouvriers
de Renault-Billancourt se souviennent de l’île Seguin, le berceau de Renault,
« la forteresse ouvrière ». Venus d’Algérie, du Maroc, de Tunisie, de Côte
d’Ivoire, d’Italie,de banlieue et d’ailleurs, ils racontent l’arrivée à Paris,
l’embauche, la recherche d’un logement, les cadences, la fierté, la révolte,
l’épuisement, l’action syndicale, les brimades, la solidarité, le coeur de
leur métier. Leur travail. L’usine de Billancourt a fermé ses portes en 1992.
Des dizaines de milliers d’hommes et de femmes y ont passé une partie de leur
vie. Qu’en reste-t-il ? Des ouvriers et employés se confient, à voix nue. Leur
passé est étonnamment présent. Ils disent l’ineffaçable trace de cette vie
d’usine et de bureau dans leur existence.
Laurence Bagot, enseignante, a rencontré durant quatre ans ces femmes et ces
hommes qui, de jour ou de nuit, ont fait Renault-Billancourt.
de Renault-Billancourt se souviennent de l’île Seguin, le berceau de Renault,
« la forteresse ouvrière ». Venus d’Algérie, du Maroc, de Tunisie, de Côte
d’Ivoire, d’Italie,de banlieue et d’ailleurs, ils racontent l’arrivée à Paris,
l’embauche, la recherche d’un logement, les cadences, la fierté, la révolte,
l’épuisement, l’action syndicale, les brimades, la solidarité, le coeur de
leur métier. Leur travail. L’usine de Billancourt a fermé ses portes en 1992.
Des dizaines de milliers d’hommes et de femmes y ont passé une partie de leur
vie. Qu’en reste-t-il ? Des ouvriers et employés se confient, à voix nue. Leur
passé est étonnamment présent. Ils disent l’ineffaçable trace de cette vie
d’usine et de bureau dans leur existence.
Laurence Bagot, enseignante, a rencontré durant quatre ans ces femmes et ces
hommes qui, de jour ou de nuit, ont fait Renault-Billancourt.
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