- EAN13
- 9782383130796
- Éditeur
- Enrick B. Éditions
- Date de publication
- 11/10/2022
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Dans la peau des criminels
Ce qui se cache derrière les tatouages des criminels
Benoît Le Dévédec, Arno KSR
Enrick B. Éditions
Autre version disponible
Loin d’être un phénomène de mode éphémère, le tatouage se démocratise aux
quatre coins du monde, certains évoquant même une révolution culturelle.
Pourtant, les préjugés ont la vie dure ! Alors que se pose la question de
savoir si le tatouage peut légalement être considéré comme un art, il est
encore perçu comme l’apanage des marginaux et fortement associé à la
criminalité. Cette représentation ne doit rien au hasard. Historiquement
prohibé par les trois religions monothéistes, le tatouage a servi à marquer
les criminels du sceau de l’infamie et a alimenté toutes sortes de théories
criminologiques dès le xixe siècle. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce que
divers groupes criminels aient fini par le revendiquer comme signe
identitaire. Comment, des prisons françaises aux gangs hispano-américains en
passant par la Russie et l’Irezumi des yakuzas, les criminels arborent-ils
leurs tatouages, et pourquoi ? Jonglant avec le droit, la criminologie et
l’histoire des civilisations, Benoît Le Dévédec (juriste) et Arno KSR
(tatoueur) dressent un panorama de ces tatouages de criminels et reviennent
sur les rapports entre tatouages, crimes, criminels et droit afin de tordre le
cou aux idées reçues.
quatre coins du monde, certains évoquant même une révolution culturelle.
Pourtant, les préjugés ont la vie dure ! Alors que se pose la question de
savoir si le tatouage peut légalement être considéré comme un art, il est
encore perçu comme l’apanage des marginaux et fortement associé à la
criminalité. Cette représentation ne doit rien au hasard. Historiquement
prohibé par les trois religions monothéistes, le tatouage a servi à marquer
les criminels du sceau de l’infamie et a alimenté toutes sortes de théories
criminologiques dès le xixe siècle. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce que
divers groupes criminels aient fini par le revendiquer comme signe
identitaire. Comment, des prisons françaises aux gangs hispano-américains en
passant par la Russie et l’Irezumi des yakuzas, les criminels arborent-ils
leurs tatouages, et pourquoi ? Jonglant avec le droit, la criminologie et
l’histoire des civilisations, Benoît Le Dévédec (juriste) et Arno KSR
(tatoueur) dressent un panorama de ces tatouages de criminels et reviennent
sur les rapports entre tatouages, crimes, criminels et droit afin de tordre le
cou aux idées reçues.
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